A la rencontre des militants Orangina Suntory

lisere-web.png317505685_10229300007432599_5053315762247184482_n.jpg, nov. 2022

Laurent Escure, Secrétaire Général de l’Unsa est venu à la rencontre des militants de la section syndicale Orangina Suntory à Donnery (45) En période de NAO (Négociations Annuelles Obligatoires) cela a été l’occasion de parler pouvoir d’achat, mutuelle complémentaire. Les échanges ont permis de confirmer la ligne et le positionnement de l’Unsa concernant la réforme des retraites, opposée au recul de l’âge légal de départ en retraite. “Pas un an, pas un mois, pas un jour de plus”.

L'Unsa dans les CESER

mail.jpg, nov. 2022

Les 20 et 21 octobre, les conseillères et conseillers du CESE et les conseillères et conseillers des CESER de l’UNSA se sont réunis au CESE pour deux jours de séminaires.

Au programme, la participation citoyenne sous toutes ses formes, les grands enjeux de demain avec les transitions, les budgets …

L’occasion aussi pour chacune et chacun de mieux se connaître et ensemble, d’être en capacité d’être toujours plus utiles aux salariés, dans tous les territoires.

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Pour les salaires et contre la stigmatisation des syndicalistes

arton2363-1a9f3.jpg, oct. 2022

L’UNSA est aux côtés de toutes ses composantes qui sont dans l’action dans leurs entreprises, leurs secteurs ou leurs administrations pour l’amélioration de leurs salaires, du pouvoir d’achat et des conditions de travail. Elle réaffirme que les employeurs ont une responsabilité immense et doivent par la négociation entendre les revendications et les exigences portées par nos représentants.

L’UNSA appelle également l’exécutif et la majorité à la responsabilité. Ils ne doivent pas stigmatiser les salariés et les agents qui se mettent en mouvement et qui attendent les ouvertures permettant de négocier et trouver des compromis.

Il s’agit de respecter les droits fondamentaux garantis par la Constitution et notamment le droit de grève mais également d’éviter les escalades.

L’UNSA soutiendra dans les jours qui viennent les actions sectorielles (grève, manifestation, rassemblement) menées par les équipes de terrain de ses fédérations et syndicats qui, entreprises par entreprises, secteurs par secteurs, ajustent leurs actions pour viser l’efficacité et pour que des négociations permettent d’obtenir des avancées significatives.

Laurent Escure, secrétaire général de l’UNSA

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Déterminé.e.s pour nos retaites

Suite à l’intersyndicale du 03 octobre, les organisations syndicales ont :

- Indiqué qu’elles se rendront aux concertations qui s’ouvriront le 05/10 au Ministère du travail,

- Rappelé qu’elles souhaitent que ces concertations portent sur les dispositifs de carrières longues, de pénibilité et d’usure au travail, de transition emploi retraite, etc… qui selon elles peuvent trouver des réponses sans pour autant avoir à recourir à l’allongement de la durée de cotisation et/ou un recul de l’âge de départ légal.

-Annoncé qu’elles allaient travailler ensemble pour essayer de porter des revendications communes sur un certain nombre de sujets.

- Rappelé qu’elles sont prêtes à imaginer les formes d’action nécessaires si le gouvernement restait arc-bouté sur son projet.

LIRE LE COMMUNIQUE INTERSYNDICAL

ECOUTER LAURENT ESCURE, SECRETAIRE GENERAL DE L’UNSA

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Les salariés de Dior à Saint-Jean-de-Braye sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires

Ils sont plutôt discrets et n’ont pas l’habitude de se mobiliser, mais depuis ce lundi 3 octobre, les salariés du groupe LVMH sont en grève. ils ont installé un piquet de grève devant leur site de Saint-Jean-de-Braye. Ils demandent à la direction de revoir la hausse des salaires négociée début 2022.

dior.JPG, oct. 2022

Les salariés de l’usine Dior à Saint-Jean-de-Braye, dans la métropole d’Orléans, se mobilisent à leur tour sur la question des salaires, face à la hausse de l’inflation. Depuis ce lundi 3 octobre, dès 6 heures du matin, un piquet de grève a été installé devant les portes du site loirétain du groupe LVMH, l’un des poids lourds de l’industrie du luxe en France. La cause de cette mobilisation inédite depuis 2014 : les salaires. Les grévistes demandent à la direction de revoir la hausse des salaires qui avait été négociée début 2022. A l’époque, l’inflation n’était pas au niveau d’aujourd’hui, et la revalorisation de 3,3% accordée en début d’année semble insuffisante. Ils demandent donc une réévaluation à la hauteur du coût de la vie. “Quand tu payes ton loyer à 700 euros, plus ton crédit, plus tes charges. Il te reste quoi ? 200 euros à la fin du mois pour manger. C’est pas évident”, lance une salariée. Et selon les grévistes présents, le piquet de grève en place depuis ce lundi matin ne sera levé que lorsque cette réévaluation aura été annoncée par la direction.

Une rééavaluation de la hausse des salaires négociée début 2022

Un sentiment d’injustice parcourt aussi les rangs des grévistes. Le groupe propriétaire des Parfums Christian Dior, LVMH, a annoncé en juillet un bénéfice record, pour la deuxième année consécutive, de 6,5 milliards d’euros au premier semestre. “On a travaillé pour ça nous, salariés, et au final on n’obtient rien. On y gagne quoi nous ? Rien du tout, on a notre salaire de base et puis c’est tout”, se désole un salarié. C’est ce qui les a poussés à se mobiliser pour la première fois depuis 2014. “Il y a moment où il faut faire entendre nos voix. Il n’y a pas que eux en haut, il y a aussi nous dans les coulisses”, martèle sa collègue.

Sur place, des salariés en grève se sont en effet installés pour durer et tenir le piquet de grève jour et nuit. Ils ont distribué des tracts au personnel, au moment de la prise de service, et ont investi une partie du rond-point qui relie la route de Boigny-sur-Bionne à la tangentielle. Après un rendez-vous avec la direction des ressources humaines, la grève continue. Les syndicats estiment qu’aucune proposition “chiffrée” ou qui “concerne le personnel” n’a été formulée.

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